Le petit chaperon rouge

[∞] Background :

Il était une fois dans un petit village, un petit garçon, le plus beau qu'on eût pu voir...

Loup venait t'entamer sa 16ieme années, il était encore un jeune homme très naïf qui aimait rendre service à sa mère. Il vivait depuis sont plus jeunes âge, seul avec elle puisque son père les avaient abandonnés a la naissance. Il lui rendait souvent des services pour rendre leurs vies la plus agréable et facile. Chacun d'eux s'avaient qu'il n'avait pas le choix, les conditions de vie étaient encore difficiles il ne pouvait pas se permettre de faire des dépense inutile. Alors il avait instauré une sorte de planning des taches à faire, il s'occupait de la vaisselle, du linge, de nettoya des sols et poussière les lundis, mercredis et vendredis, et sa mère les autres jours. Les taches ainsi répartis diminué considérablement le travaille. Leurs permettant de pouvoir se reposer et diminuer les taches à faire dans la maison. Tous étaient toujours chronométré, une routine que rien ne venait changer.

On peut donc dire qu'en plus d'être naïf. Loup était un garçon aimable et serviable. Il connaissait la dureté de la vie et son coup, c'est pour ça qu'il aidait sa mère au mieux. Malgré le fait qu'il soit un garçon, il ne s'était jamais pris pour le chef de la maison, il n'avait pas honte de dire qu'il faisait des taches ménagère a ces camarade de classe. C'était un bon garçon en tous poins.

Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade.

Seulement les choses changèrent en se vendredi 13. Les habitudes allaient se bousculer complètement. Si les gens étaient d'un naturel superstitieux, il aurait répondu que le sort du petit loup ce jour la était normal, et qu'il aurait fallu si attendre. Après tous c'était un jour maudis, et il n'y avait bien que les fous pour sortir ce jour là...

Sa mère venait d'apprendre que ça propre mère, donc la grand-mère de Loup était gravement malade. Les médecins ne l'hospitaliser que le lendemain, et ne pouvant pas payer les frais d'une nuit a l'hôpital, elle restait chez elle. Ne voulant pas laisser la pauvre femme seul, elle avait demandé a son fils d'aller passer la nuit avec cette dernier, pour qu'elle ne reste pas seul en cas de problème. Elle lui donna une galette, du beurre, de la confiture et deux trois autres course pour qu'il puisse se faire un bon petit déjeuner, lui et ça grand-mère.

Comme sa mère n'avait pas pût lui donner d'argent pour le bus, il se rendit donc a pieds chez ça grand-mère. Elle habitait certes dans la même ville, mais complètement de l'autre côté de leurs appartements HLM. Il traversait donc les diverses rues, un panier sous le bras, s'inquiétant du sort de ça grand-mère. Il en avait encore pour une bonne demi-heure, même trois quarts d'heure de marche.

Une voiture s'arrêta au feu rouge, à quelques pas de lui et lui demanda où il allait:

En passant dans un bois elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger…

- Ma grand-mère est malade. Ma mère m'envoie passer la nuit chez elle.

Il ne se rendit même pas compte qu'il parlait de sa vie privée à un étranger, il ne se rendait même pas compte du petit sourire que lui lance l'inconnu. Quelqu'un de moins naïf aurait pris peur, voyant l'étincelle de désir et de malveillance dans le regard de l'autre homme. D'ailleurs ce dernier reprit, la voix toujours douce, charmeuse et poli :

- Habite elle loin ?

- Oui il me reste une demi-heure de marche. Elle habite aux 2 rue des sous-bois. Dans le quartier Est.

Vraiment très innocent et purement inconscient. Aucunes personnes n'aurait donné une information aussi précise a un inconnu aussi naïf soit-il. Pourtant il l'était, très naïf, trop peut être. Et puis il ne croyait plus les mis en garde de sa mère contre les étrangers, l'autre n'aurais jamais le courage de le rejoindre là-bas croyant à une fausse adresse. Et puis il était adulte, sais ce qu'il pensait, et que ce genre de déboire ne pouvait pas lui arriver, sa aussi il le pensais.

Le feu passa au vert, et l'inconnu reparti comme il était venu. Il ne se préoccupa plus de cette rencontre, pensant à tord, qu'il ne le reverrait plus.


Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la Mère-grand ; il heurte ¤Toc, toc¤
- Qui est là ?
-C’est votre fille le Petit Chaperon rouge (dit le Loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie.
La bonne Mère-grand, qui était dans son lit à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria :
- Tire la chevillette, la bobinette cherra.
…
Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien

L'homme ne mit que quelque minute en voiture à arriver devant la petite maisonnette. Il gara précieusement sa voiture à quelque mètre de là, pour ne pas alerter les voisins, ou tous simplement le délicieux jeune homme qu'il avait rencontré juste avant. Il arrivera près de la porte, et caressa doucement ça gorge pour en changer plus facilement le ton. Il sonna a la porte, et lorsqu'il entendis la voix de la vielle femme, il répondit ;

-C'est moi grand-mère. Maman veut que je reste avec toi ce soir.

- Loup ! Prend la clé sous le tapis devant la porte.

Lui répond la vielle femme. Il pris la clé, ouvrit la porte et replaça cette dernière a l'endroit où il l'avait trouvé. Puis il rentre dans la demeure, cherchant ça « grand-mère » du moment. Il trouva la vielle femme dans son lit, elle semblait assez fatigué et il sourit heureux de la constations. S'approchant doucement de la vielle femme, il l'assomma d'un coup sec et l'extraire du lit, la plaçant sans délicatesse dans l'armoire qu'il referma. Il alla jusqu'au lit et se cacha rapidement sous les couvertures attendant le mignon petit garçon.


- Qui est là ?
Le Petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup eut peur d’abord, mais croyant que sa Mère-grand était enrhumée, répondit :
-C’est votre fille le Petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma Mère vous envoie.
Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix :
- Tire la chevillette, la bobinette cherra.
Le Petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit.

Loup arrivera quelque dizaine de minutes plus tard. Mais il était heureux, il allait pouvoir s'occuper de sa grand-mère, et puis la ou moins se reposer un peu. Il alla donc toqué a la porte, et attendit patiemment que quelqu'un viennent lui ouvrir. Personne ne lui ouvrit, mais il entendis la voix de sa grand-mère demander qui était la, il lui répondit calmement et assez fort comprenant que cette dernière vraiment malade ne pouvait pas vraiment pas se déplacer. Elle lui indiqua la clé sous le tapis, il put donc entré.

-Je dépose les courses et j'arrive grand-mère.

Assez prévenant et attentionné. Il retardait leurs qui pour d'autre était inéluctable. Il rangea les courses dans le placard et dans le frigo, puis rejoignit la chambre, qui se situé au fond de la maison, heureusement qu'elle avait encore une bonne voix, il n'était pas sur de l'avoir entendu autrement. Lorsqu'il pénétra dans la chambre, cette dernière était caché sous les draps comme pour se protéger du froid, pourtant il ne faisait pas vraiment froid dans la maison, mais peut être que sa maladie lui donner cette impression.

Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi.

-Viens dans le lit me réchauffé, j'ai tellement froid.

L'inconnus veillait à imiter la voie de la grand-mère, un peu hésitante et tremblante, une voix qui avait visiblement elle aussi vieillit avec les années. Il espère que le jeune garçon le croirais et qu'il n'avait pas de honte a se retrouver dans le même lit que ça grand-mère. Ce qui n'était bien sur pas le cas, Loup se déshabilla lentement pour finir avec un simple boxer noir, qui taillé à la perfection sa petite taille d'enfant. Bien qu'il en est 16, les gens lui en donné toujours 12 ou 13 ans mais jamais plus, ce qui l'agaçait un peu reconnaissons-le. Une fois en simple tenus il se glissa sous les draps.

Si vous avez du mal à comprendre comment un enfant de son âge peut encore dormir avec une grand-mère. Imaginez-vous que c'est par gentillesse, et bonté naturel. Ou alors le fait simple qu'il dormait encore avec ça mères. Elle ne gagnait pas suffisamment d'argent pour pouvoir bénéficier d'une seconde chambre, donc il partagé un grand lit. Ce qui n'était pas toujours évident, mais de ce fait il n'avait plus de honte avec ça.

Elle lui dit :
-Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ?
-C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.

L'inconnue qui était toujours dans le lit, sembla satisfait de le voir le rejoindre. Ainsi il n'aurait pas à manigancé. Il était plutôt content de ça trouvaille, et heureux de constater que l'autre était suffisamment naïf pour lui avoir tous accorder, vraiment quelle imprudence. « ne parle pas aux inconnus tu ne sais jamais ce qu'il attende de toi », il ce rappeler de cette phrase que sa mère lui avait dit un jour, et il ne pût s'empêcher qu'aujourd'hui c'était lui l'inconnu. Il enroula doucement ses bras autour de la taille du jeune enfant, lui aussi c'était laissé avoir, il pensait que le jeune homme devait être en 1er ou 2nd année de collègue.

Loup se sentis soudainement mal à l'aise, il ne se souvenait pas que ça grand-mère eu un jour une tels poigne, et si elle était malade, ne devait-elle pas avoir moins de force encore. Assez mal à l'aise avec l'idée il ne dit rien. Ne sachant pas trop comment réagir. Et puis il se souvenait de l'inconnu dans sa voiture. Il espérait simplement qu'il n'avait pas fait de bêtise.

-Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ?
-C’est pour mieux courir, mon enfant.

Lentement les jambes de l'inconnu se nouèrent au tiennent et lentement il les caressa. Loup commençait vraiment a avoir peur, et regretter vraiment son erreur. Un peu stupidement il espérait que ça ne soit que ça grand-mère, mais il est maintenant évident que ce n'était pas le cas. Il essaya de repousser l'inconnu, mains sentant sous ses doigts un torse bien lisse et musclé, il pris peur, et resta tétaniser. Il voulait néanmoins savoir qui il était, il ne pensait pas que cela puisse être eu blague, ça allait beaucoup trop loin. Il ne pensait qu'à l'inconnu dans sa voiture, il était sur que c'était lui, mais il voulait le savoir en avoir la certitude. Pourtant ça n'aurait rien changé, mais il ne le savait pas encore.

-Qui... qui êtes-vous.

-Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ?
-C’est pour mieux voir, mon enfant.

L'homme ne pris pas la peine de répondre, non. Au lieu de ça, il dégagea les draps et couvertures superflu et gênante pour l'activité qu'il avait envisagé et prévoyais de mettre en oeuvre en cet instant précis. Une fois les couvertures dégagées il posa son regard sur l'enfant, un regard remplis d'excitation, de désir et de folie. Quelque chose qu'on ne pouvait pas contrôler. Et Loup commençais à comprendre ce qui allait lui arriver, il avait peur et espérer que quelque un viennent l'aidé. Il ne pensait plus vraiment à ça grand-mère qui était forcement quelque part dans la maison, il ne pensait plus qu'à lui et à sa peur.

-Ne me regardez pas comme ça... partez d'ici.

-Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents.
-C’est pour te manger.

L'homme ria doucement et caressa son visage doucement, comme s'il était attendri par le comportement inutile de l'autre. Il passa doucement aux dessus de lui, le bloquant sous son poids. Il l'embrassa doucement, et fit glisser son boxer jusqu'à ses pieds. Il se déshabilla lui aussi lentement, veillant a bloque Loup toujours sous lui. Une fois nue, il alla l'embrasser de nouveaux.

-Qu'est-ce que vous allez me faire.

Il tremblais de tous son corps et ne voulais pas accepter la vérité. Il allait se faire violer. Il n'y avait personne pour l'aider. Il n'avait aucun moyen d'échapper a ce qu'il allait suivre.

-Je vais te manger bien sur.

Et en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le Petit Chaperon rouge, et la mangea.

L'homme s'en douceur le pénétra, il avait pris soins de bloquer sa bouche pour qu'il n'alerte pas tous les voisins. Et il continua sa tâche ignoble jusqu'à jouir en lui. Il se moquait bien de savoir qu'il y avait été tellement forts que du sang coulé de son orifice pour tacher les draps de sang. Il tremblait sous lui et il s'en moquait. Des larmes coulaient de ses yeux et il s'en moquait. Il essaye maladroitement de le repousser est-il s'en moquait. Et ça l'excitait. Il recommençait encore. Et encore. Et encore jusqu'à se lasser, il finit par partir laissant l'enfant souiller dans les draps de sang.

Ce dernier avait les yeux grands ouverts, et il pensait à mourir, il avait mal à la tête, il avait mal partout, il avait mal au coeur et à l'âme. Il ferma les yeux, et s'endormi pour la première fois.

Bienvenue !!

Heu, juste une chose avant qu'on ne valide ta fiche : pourrais-tu corriger tes fautes s'il te plaît ? ^^;